Festival Overture-L?introduction débute avec un passage solennel joué par les bois et l?euphonium suivi d?une éclatante fanfare réservée aux cuivres et à la percussion. Après une section centrale pleine de chaleur les trompettes et les trombones exécutent un passage polyphonique menant à une conclusion grandiose. Solennelle et impressionnante cette courte composition convient à toutes sortes d?occasions - festival cérémonie ou concert.

Composée par Dulauroy Gilles la partition Fanfare solennelle (6 Trombones Ténors, 3 Trombones Basses,3 tubas) est éditée par les célèbres éditions françaises Robert Martin sous la référence SL10094.De ce fait, si vous êtes un grand amateur de Trombone et encore plus de Trombone vous trouverez dans cette pièce tout ce que vous cherchez. Alors plus que quelques clics et cette partition vous appartiendra!!! / Trombone / Partition

Polonaises-La polonaise apparaît dans la musique savante dès la fin du 16e siècle en tant que danse styli-sée. Chopin commença à se consacrer à ce genre quasiment dès l?enfance rendant ainsi égale-ment hommage à son pays natal. En effet son ?uvre imprimée la plus ancienne est une polo-naise (KK IIa no 1 en sol mineur) composée à l?âge de sept ans. De même les trois polonaises op. 71 ainsi que KK IVa no 1 à 3 5 et 8 publiées à titre posthume sont des ?uvres de jeunesse datant de la période où il vivait à Varsovie. Les sept grandes polonaises op. 26 no 1 et 2 op. 40 no 1 et 2 op. 44 et 53 et en particulier la Polonaise-Fantaisie op. 61 de 1845/46 qui est aussi la dernière grande?uvre pour piano de Chopin sont des ?uvres de la maturité. Dans leur mélange de solennité et d?élégance de force et de douceur de pathos héroïque et d?humeur délicate elles sont toutes les témoins du grand art de ce compositeur.

Cette courte œuvre processionnelle convient parfaitement pour l?ouverture d?un concert pour une intervention musicale dans le cadre d?une cérémonie ou en toute autre occasion solennelle. Le titre illustre la noble grandeur de l?établissement universitaire de la ville anglaise de Cambridge où le grand apparat s?accorde avec le quotidien.

Grand Overture-Crescent Moon débute de maniére solennelle dans le registre moyen et se déploie progressivement en une orchestration plus brillante. Aprés cette introduction quelque peu grandiose un allegro virtuose émerge occasionnant desprouesses techniques dans tous les registres. Un climat d'optimisme joyeux domine ce mouvement - une ambiance trés appropriée pour une occasion aux couleurs hautement festives. Que cette oeuvre contribue à stimulerl'optimisme et la confiance en un avenir meilleur.

Nomenclature : 4(+picc).2.2ca.3.clB.4(+2Cbn) / 6.4.4.1 / 2hp / 3perc.2timb. / 16.14.12.10.8 Notice Il s'agit d'une oeuvre particulièrement représentative du genre de peinture qui a pris son essor pendant le Xe et Xie siècles sous le règne de la dynastie des Song du Nord (960-1127) et qui place la peinture chinoise sous le signe de l'unité retrouvée. Le style nordiste, inauguré par Ching Hao et Kuan T'ung se trouve porté à son point de tension extrême par Fan K'uan (fl. 990-1020) dont le Voyage par-delà les fleuves et les monts figure et résume la peinture des grands maîtres classiques de cette époque. L'art du trait calligraphique s'applique au traitement des parois et des surfaces, tout comme les rides en goutte d'eau servent à renforcer les effets de hauteur. Il existe, dans cette toile, une certaine contradiction entre l'éloignement des choses et le caractère abrupt d'un mur primordial qui s'impose avec une évidence absolue. On voit une imposante falaise rocheuse s'arracher d'un abîme et s'élancer jusqu'au ciel, comme un surgissement de l'inaccessible, surplombant un paysage escarpé que vient encore aiguiser le relief âpre et tourmenté de la végétation du premier plan. A la verticale, une broussaille de forêts lointaines semble agrippée aux sommets. Sur la droite, la chute vertigineuse d'une cascade tombant des hauteurs se déroule comme un ruban de soie. En avant-plan, un groupe de rochers laisse entr'apercevoir, plus bas, une caravane de mules dont le trait presqu'imperceptible laisse pressentir l'insignifiance de l'être humain face à l'immensité de la nature. On notera aussi le style sévère et dépouillé de ce paysage majestueux, son allure austère et solennelle qui souligne le caractère sacré des montagnes - la demeure des dieux - dans la peinture monumentale de paysage des Song du Nord. L'altitude est le véritable personnage de cette oeuvre célèbre, une peinture sur soie, d'encre et de couleurs légères, qui est conservée au Musée national du Palais de Taipei, à Taïwan. J'ai cherché à rendre ce sentiment plénier de la nature au grand orchestre, en sorte que l'articulation du souffle ne soit jamais interrompue par des notations accidentelles ou des velléités de développement. La pièce se déroule d'un seul tenant, comme une trame élémentaire, à l'image d'une continuité où toute interruption est arbitraire. Elle est parcourue d'un seul rythme enveloppant des tensions opposées - ascension et suspens, émergence et pesanteur. Une association instrumentale y domine, celle du pupitre des clarinettes allié à celui des trombones, avec des modes de jeu qui projettent les trombones dans l'extrême grave et diffractent le son de la clarinette en un tremblement de multiphoniques. Deux compositeurs, Ivàn Solano, clarinettiste, et Dominique Delahoche, tromboniste, ont bien voulu me guider dans cet inventaire des nouvelles ressources instrumentales. Il est difficile de parler de la forme de l'oeuvre, puisqu'il s'agit d'une transformation incessante, constitutive, à l'instar d'une forme-flux sans cesse renaissante et tendue vers un perpétuel effort d'intégration et de condensation. La forme n'est plus qu'une puissance obscure et négative qui se confond avec le rythme de la couleur ou de la masse. Une toile de fond d'harmonie-timbre, constamment dressée, suggère l'étendue et la profondeur, et figure, si l'on veut, une sorte de fond spatial qui serait l'espace même du paysage. Les seuls événements qui scandent le processus sont des coulées de forces qui excèdent toute limite définie et suggèrent des régimes dynamiques variés. Ce Voyage par-delà les fleuves et les monts, d'après Fan K'uan, est l'objet d'une commande conjointe de l'Orchestre Philarmonique de Nice et du CIRM. Hugues Dufourt Enregistrement : 1 CD Timpani (1C1195) Hugues Dufourt : Lucifer d'après Pollock - Voyage par-delà les fleuves et les monts Orchestre Philharmonique du Luxembourg Pierre-André Valade (direction)

Sinfonia Hungarica est une œuvre de commande pour l?Orchestre d?Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée à Ferenc Jankovski (Directeur de l?Orchestre d?Harmonie) Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss.Cette symphonie en trois mouvements retrace l?histoire de la Hongrie. L?ensemble des trois mouvements s?inspire de la vie de personnages historiques clés de guerres et d?autres événements de grande importance qui ont marqué l?histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l?État hongrois (1001-2001). L?œuvre a été donnée en création mondiale le 31 mars 2001 à Budapest par l?Orchestre d?Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur.ATTILA roi des Huns surnommé ?le Fléau de Dieu? est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur de menace d?agression et de cruauté. Bléda le frère d?Attila est associé à un thème aux accents plus héroïques tandis que Kerka l?épouse bien-aimée du roi des Huns est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d?ouverture illustre l?effroyable rapidité avec laquelle les troupes d?Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes.Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD le fondateur de l?État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse la grand-mère d?Arpad qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l?un de ses opposants le prince bulgare Zalan et l?avoir chassé des terres magyares Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag.Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier (ISTVAN) sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d?ouverture solennelles et majestueuses mènent à un passage dont l?atmosphère belliqueuse s?intensifie pour s?achever en de violents fracas symbolisant la mort

Par DUFOURT HUGUES. Il s'agit d'une oeuvre particulièrement représentative du genre de peinture qui a pris son essor pendant le Xe et XIe siècles sous le règne de la dynastie des Song du Nord (960-1127) et qui place la peinture chinoise sous le signe de l'unité retrouvée. Le style 'nordiste', inauguré par Ching Hao et Kuan T'ung se trouve porté à son point de tension extrême par Fan K'uan (fl. 990-1020) dont le Voyage par-delà les fleuves et les monts figure et résume la peinture des grands maîtres classiques de cette époque. L'art du trait calligraphique s'applique au traitement des parois et des surfaces, tout comme les rides en goutte d'eau servent à renforcer les effets de hauteur. Il existe, dans cette toile, une certaine contradiction entre l'éloignement des choses et le caractère abrupt d'un mur primordial qui s'impose avec une évidence absolue. On voit une imposante falaise rocheuse s'arracher d'un abîme et s'élancer jusqu'au ciel, comme un surgissement de l'inaccessible, surplombant un paysage escarpé que vient encore aiguiser le relief âpre et tourmenté de la végétation du premier plan. A la verticale, une broussaille de forêts lointaines semble agrippée aux sommets. Sur la droite, la chute vertigineuse d'une cascade tombant des hauteurs se déroule comme un ruban de soie. En avant-plan, un groupe de rochers laisse entr'apercevoir, plus bas, une caravane de mules dont le trait presqu'imperceptible laisse pressentir l'insignifiance de l'être humain face à l'immensité de la nature. On notera aussi le style sévère et dépouillé de ce paysage majestueux, son allure austère et solennelle qui souligne le caractère sacré des montagnes - la demeure des dieux - dans la peinture monumentale de paysage des Song du Nord. L'altitude est le véritable personnage de cette oeuvre célèbre, une peinture sur soie, d'encre et de couleurs légères, qui est conservée au Musée national du Palais de Taipei, à Taïwan. J'ai cherché à rendre ce sentiment plénier de la nature au grand orchestre, en sorte que l'articulation du souffle ne soit jamais interrompue par des notations accidentelles ou des velléités de développement. La pièce se déroule d'un seul tenant, comme une trame élémentaire, à l'image d'une continuité où toute interruption est arbitraire. Elle est parcourue d'un seul rythme enveloppant des tensions opposées - ascension et suspens, émergence et pesanteur. Une association instrumentale y domine, celle du pupitre des clarinettes allié à celui des trombones, avec des modes de jeu qui projettent les trombones dans l'extrême grave et diffractent le son de la clarinette en un tremblement de multiphoniques. Deux compositeurs, Ivàn Solano, clarinettiste, et Dominique Delahoche, tromboniste, ont bien voulu me guider dans cet inventaire des nouvelles ressources instrumentales. Il est difficile de parler de la forme de l'oeuvre, puisqu'il s'agit d'une transformation incessante, constitutive, à l'instar d'une forme-flux sans cesse renaissante et tendue vers un perpétuel effort d'intégration et de condensation. La forme n'est plus qu'une puissance obscure et négative qui se confond avec le rythme de la couleur ou de la masse. Une toile de fond 'd'harmonie-timbre', constamment dressée, suggère l'étendue et la profondeur, et figure, si l'on veut, une sorte de fond spatial qui serait l'espace même du paysage. Les seuls événements qui scandent le processus sont des 'coulées de forces' qui excèdent toute limite définie et suggèrent des régimes dynamiques variés. Ce Voyage par-delà les fleuves et les monts, d'après Fan K'uan, est l'objet d'une commande conjointe de l'Orchestre Philarmonique de Nice et du CIRM. Hugues Dufourt / contemporain / Répertoire / Orchestre

Sinfonia Hungarica est une œuvre de commande pour l?Orchestre d?Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée à Ferenc Jankovski (Directeur de l?Orchestre d?Harmonie) Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss.Cette symphonie en trois mouvements retrace l?histoire de la Hongrie. L?ensemble des trois mouvements s?inspire de la vie de personnages historiques clés de guerres et d?autres événements de grande importance qui ont marqué l?histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l?État hongrois (1001-2001). L?œuvre a été donnée en création mondiale le 31 mars 2001 à Budapest par l?Orchestre d?Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur.ATTILA roi des Huns surnommé ?le Fléau de Dieu? est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur de menace d?agression et de cruauté. Bléda le frère d?Attila est associé à un thème aux accents plus héroïques tandis que Kerka l?épouse bien-aimée du roi des Huns est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d?ouverture illustre l?effroyable rapidité avec laquelle les troupes d?Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes.Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD le fondateur de l?État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse la grand-mère d?Arpad qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l?un de ses opposants le prince bulgare Zalan et l?avoir chassé des terres magyares Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag.Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier (ISTVAN) sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d?ouverture solennelles et majestueuses mènent à un passage dont l?atmosphère belliqueuse s?intensifie pour s?achever en de violents fracas symbolisant la mort

oeuvre commandée par la Communauté d'agglomération Grand Paris Sud-Ouest à l'attention de ses conservatoires de musique, notamment le C.R.R. de Boulogne-Billancourt.Sur quatre notes, Ré-Mi-Sol-Lab, un chantonnement épisodique parcourt la pièce en arrière-plan. Dessus va se greffer un geste ascendant, un peu solennel, sous forme de phrases qui couvriront toute l'étendue de l'instrument, et dont les doubles sons au débit régulier devront respecter bientôt un accelerando et un crescendo. En contraste, un autre élément, au caractère souple, mélodique et expressif, décrit des courbes de direction descendante. Celles-ci surgissent à partir de deux notes fixes, Do#-Sib, qui reviennent obstinément, comme un signal. Deux cheminements évoluent donc dans des directions opposées, en s'entrecoupant l'un l'autre. Un jeu d'échos s'établit à partir de ces composants, et les met en perspective.La pièce demande de la part de l'interprète un jeu très coloré, avec une palette de nuances aussi diversifiée que possible.A l'écoute de cette musique, on ne doit pas percevoir de pulsation forte et mécanique.Les sons évoluent comme ceux de la nature, de façon souple. / Harpe Celtique Seule

Felix Mendelssohn-Bartholdy (1809-1847) fut considéré comme le plus grand enfant prodige après Mozart. Il nous a légué des chefs-d?œuvre dans presque toutes les formes musicales. La Marche nuptiale extraite de la musique de scène du Songe d?une nuit d?été (1842) demeure sans doute l?une des plus célèbres pages de Mendelssohn. Son orchestration d?apparat et sa joyeuse solennité justifient son « tour du monde ».

 CHARABANDA est une pièce imaginée pour Bande de Hautbois et percussions, Elle a été écrite tout spécialement pour Claude Villevieille et rend hommage à son grand esprit d'ouverture musical - en effet, Charabanda visite à la fois la musique sérieuse et la musique festive, Après une sarabande solennelle en guise d'introduction, les percussions se lancent dans une rythmique latino et entraînent la ' Banda ' vers un instant ' Chabada ' !L'unité de la pièce est assurée grâce à la thématique qui reste sensiblement identique du début à la fin, Charabanda a été commandée par La Bande des Hautbois pour fêter son chef ! Claude Villevieille a entendu pour la première fois cette pièce le 8 septembre 2012 à Champignelles (Yonne),Collection Les bandes de hautbois / Hautbois

Ces trois mélodies pour baryton et piano sont écrites sur des poèmes de Victor Hugo extraits de 'La légende des siècles?. Dans la multitude des visages de Hugo c?est d?abord le poète des sujets grandioses, épiques et solennels qui m?a touché. Ma passion pour l?architecture d?une part et pour les civilisations disparues, antiques et mystérieuses d?autre part m?a fait éprouvé un véritable coup de foudre pour ces 'sept merveilles du monde?.La première 'Les jardins de Babylone? se présente comme une ligne mélodique sensuelle soutenue par un accompagnement liquide d?arpèges, de chants d?oiseaux stylisés et de couleurs harmoniques kaléidoscopiques. La deuxième 'Le Mausolée? est un lent rituel funèbre, avec une écriture vocale déclamée sur les basses puissantes du piano à l?image des fondations du temple de Mausole. Enfin 'Le phare d?Alexandrie? est construit en deux partie : la première est une tempête avec une écriture vocale scandée et rythmique et la deuxième -après la construction du phare- un air virtuose où la joie s?exprime à travers de grandes vocalises et un accompagnement motorique du piano. Après le paradis et la mort le cycle s?achève sur la jubilation de la lumière retrouvée... ' (Guillaume Connesson) / Piano Et Chant / Partition

Messa Solenne - Messe Solennelle-Mettre en musique un texte religieux requiert une grande précision. Il s?agit de suivre et de respecter le rythme la ponctuation et la couleur du texte. La musique composée par André Waignein correspond aux codes actuels de l?écriture tout enrestant fidèle au caractère sacré du contenu. Missa Solemnis reflète les émotions profondes du compositeur. Cette oeuvre sincère ne laissera pas votre auditoire indifférent ! Partitions pour ch?ur disponibles séparément.